Pour sa première participation aux Jeux olympiques, le Toulousain d’adoption Antoine Viquerat, 22 ans, s’est classé douzième des demi-finales du 200 m brasse en 2’09’’97. L’apprentissage continue.
Qu’est-ce que tu retiens de cette demi-finale olympique ?
C’était une course assez agréable que j’ai eu le sentiment de mieux gérer qu’hier (en séries). Après, nager le matin, c’est un peu compliqué, mais je suis malgré tout satisfait !
Repasser sous les 2’10, c’est en tout cas un signe de régularité !
Ça confirme ce que j’ai fait en séries. Ça montre que ce n’était pas un coup de chance (sourire)…
(KMSP/Stéphane Kempinaire)
Que vas-tu retenir de ces Jeux nippons ?
J’ai envie d’y retourner (rires)… Ce sont des sensations assez extraordinaires, en course comme à l’échauffement. Ici, tout est immense. On se sent différent.
Qu’en a-t-il été de la vie au village olympique ?
On peut vite y « perdre » ses jambes car il y a beaucoup de trajets à faire. Du coup, j’ai essayé de me focaliser sur mes courses en me disant que j’en profiterais après, si j’ai un peu de temps… Après, c’est quand même sympa de croiser des athlètes du monde entier. J’ai notamment vu Novak Djokovic (tennis).
A. C. (source : FFN/Tokyo 2020)