A trois semaines des championnats du monde de Kazan, la brasseuse Fanny Deberghes s’apprête à vivre sa première échéance internationale au sein de l’équipe de France. Entretien.
Fanny, dans quel état d’esprit es-tu ?
Je suis un peu stressée, mais impatiente de plonger dans le grand bain. Pour l’instant, j’appréhende un peu parce que je sors tout juste d’une blessure au genou qui m’a empêché de travailler mon ciseau pendant six semaines, mais il me tarde d’y être (sourire)…