Le vendredi 20 mars, l'équipe de France masculine affronte son homologue turc à la piscine Georges-Vallerey (20e arrondissement de Paris). Une affiche qui devrait combler d'aise les aficionados de la discipline. Reste qu'à l'instar de tous les « sports co », le water-polo se décline aussi au féminin. Mais la femme est-elle l’égale de l’homme, balle (mouillée) en main ?
C’est un fait établi depuis maintenant plusieurs décennies, les femmes arpentent avec plaisir et bonheur tous les terrains de sports collectifs, longtemps considérés comme territoires réservés aux hommes. Handballeuses, basketteuses, voire footballeuses ou rugbywomen se permettant même parfois – au gré de leurs résultats ou de leur… plastique - de « piquer » à leurs homologues masculins le capital sympathie des spectateurs ou, mieux encore, les sommets des audiences télévisuelles. Mais le water-polo peut-il se vanter du même succès ?