Deuxième temps des demi-finales en 22''90, le natif de Nouméa aborde la finale du 50 m papillon, ce vendredi à 18h07, dans de bonnes conditions.
Maxime, qu'as-tu ressenti à l'occasion de la demi-finale ?
Pas mal. Je me suis senti très bien. Un peu lourd, mais fort. J'ai vu que j'étais premier, je n'ai pas paniqué. J'ai pris une respiration. Je sentais que je maîtrisais la course.
De quoi ouvrir l'appétit pour ce vendredi soir...
Oui, c'est sûr ! Je vais essayer de les jouer (ces courses, puisqu'il est engagé sur les demi-finales du 100 m nage libre, 25 minutes plus tard). Il faut ramener le plus possible de médailles. Je pense que, sur le 50 m papillon, j'en suis capable, même s'il y a de nouveaux clients. Ceccon (qualifié dans l'autre demi-finale en 23''14) arrive. Nous sommes trois potentiellement du même niveau, en ce moment. C'est donc possible de faire le podium, à part si quelqu'un arrive par surprise, ce qui se produit toujours (il sourit). Ou si je fais une contre-performance.
Le 100 m aura lieu peu après. Comment l'abordes-tu ?
J'ai de l'entraînement. Peut-être ai-je un peu de marge. On va voir comment ça se passe. Je vais en discuter avec Michel (Chrétien, l'entraîneur). On va travailler là-dessus d'ici là.
À Rome, David Lortholary
Photos KMSP/Stéphane Kempinaire