Selon l’étude Ifop pour Biogaran en avril 2024, en France, 81 % des 15-24 ans achètent des médicaments sans ordonnance(1). Découvrez leurs motivations.
Qu'appelle-t-on l'automédication ?
L’automédication correspond à l’utilisation par un patient d’un médicament sans avoir préalablement échangé avec un professionnel de santé2.
L'automédication chez les 15-24 ans : quelques chiffres
Selon l'étude Ifop réalisée pour Biogaran en avril 2024 auprès de 1 000 jeunes de 15-24 ans :
81% des jeunes ont déjà acheté des médicaments sans ordonnance, dont 42% qui en achètent souvent.
Parmi les jeunes qui achètent régulièrement des médicaments sans ordonnance, 89% des femmes ont déjà acheté des médicaments sans ordonnance, dont 46% qui en achètent souvent1.
Pour quels symptômes ?
Les raisons pour lesquelles les jeunes achètent des médicaments sans ordonnance sont :
- soigner les douleurs diverses,
- Soigner la toux la toux et les maux de gorge,
- soigner les maux d’estomac,
- soigner les allergies,
- soigner les problèmes cutanés,
- soigner la perte de tonus ou la fatigue,
- le stress ou l’anxiété,
- la contraception,
- l’insomnie,
- la psychostimulation (ex concentration, stimulation en période d’examen)1.
Il est important de rappeler ici que, quel que soit le contexte, la prise de médicaments ne doit pas être prise à la légère, même lorsqu’il s’agit d’affections bénignes. Les pharmaciens et les médecins restent les interlocuteurs privilégiés d’une automédication responsable3.
Pourquoi choisir l'automédication ?1
Pour 67 % des jeunes, il s’agissait de traiter des symptômes bénins qui ne nécessitaient pas une consultation chez le médecin.
Pour 64 % des jeunes, il aurait fallu attendre trop longtemps pour avoir un rendez-vous chez le médecin.
L'automédication, les précautions
L’automédication sans avis médical n’est pas sans risque et doit être envisagée avec prudence :
- Acheter vos médicaments en pharmacie.
- Toujours demander conseil à votre médecin ou pharmacien en cas de méconnaissance du médicament (indications et contre-indications), de persistance d’un symptôme ou de doute sur celui-ci, d’utilisation habituelle d’un autre traitement.
- Toujours lire la notice, notamment les effets indésirables, interactions médicamenteuses, les contre-indications.
- Toujours bien respecter les doses, la durée du traitement et les indications.
- Ne jamais prendre ou prêter un médicament anciennement prescrit sans avis médical4.
Une question de moyens
L‘étude Ifop pour Biogaran fait ressortir que 44 % des jeunes se tournaient vers l’automédication parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’avancer les frais d’une consultation chez le médecin.
62% ont déclaré avoir déjà renoncé à l'achat d'un médicament sans ordonnance en raison de son prix1.
Ces résultats de l'étude IFOP pour Biogaran confortent la volonté de Biogaran de favoriser l'accessibilité des produits de santé au plus grand nombre, et ce, depuis 28 ans.
Le Laboratoire œuvre en effet pour la réduction des coûts de santé, au travers des médicaments de prescription génériques et de produits d’automédication.
Plus de 60 références apportent aujourd’hui une solution pour la majorité des maux du quotidien et témoignent de l’engagement du laboratoire en faveur de la défense du pouvoir d’achat.1
Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez consulter les résultats de cette étude en téléchargeant le document suivant :
Etude Ifop pour Biogaran | Enquête auprès des jeunes sur la consommation de médicaments sans ordonnance
Sources
1 - IFOP - ENQUÊTE AUPRÈS DES JEUNES SUR LA CONSOMMATION DE MÉDICAMENTS SANS ORDONNANCE - « Étude Ifop pour Biogaran réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 26 avril au 3 mai 2024 auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 à 24 ans - Mai 2024 | 2 - ANSM – Bon usage des médicaments en automédication – 06-06-23 – Lien de la page – Consulté le 26-04-24 | 3 - LIVI - L’automédication et les risques liés à la prise de médicaments sans prescription médicale – Lien de la page - Consulté le 26-04-24 | 4 - CHU ROUEN NORMANDIE – L’automédication : que faire pour ne pas se mettre en danger - Lien de la page - Consulté le 26-04-24.
PO-02335-05/24