Yohann Ndoye Brouard, troisième temps des demi-finales du 100 m dos (52’’63, qualifié pour la finale)
J’étais stressé cet après-midi et en arrivant à la piscine, j’étais super à l’aise. Je ne me suis pas pris la tête et je me suis dit qu’on était là pour jouer. J’ai essayé de ne pas trop penser à ma demi-finale des JO de Tokyo, même si je l’avais en tête. C’est une belle revanche et ça y est je suis finaliste olympique. Je n’ai pas voulu regarder la finale de Léon pour rester concentré même si ça n’était pas facile. J’ai entendu le public, il a bien chauffé la salle et c’était très cool. Le plus important c’est de toucher devant. On a eu de très beaux discours avant la compétition des entraîneurs de l’équipe, Philippe (Lucas), Michel (Chrétien), Denis (Auguin), Jacco (Verhaeren). Ils nous ont tous dit de profiter et de s’amuser. Je pense l’avoir bien fait. Ça donne une saveur encore plus belle à cette course. Je savais à quoi m’attendre ce soir. J’ai profité de l’ambiance. J’avais ma stratégie de course en tête et je suis resté là-dessus. Toute ma famille est là, c’est incroyable de pouvoir partager ça tous ensemble.
KMSP/Stéphane Kempinaire
Mewen Tomac, 15ème des demi-finales du 100 m dos (53’’61)
Je suis déçu et ce qui m’embête c’est que je me sentais mieux que ce matin dans le premier 50 m et finalement je craque à la fin. Je suis un peu dégoûté, je n’ai pas plus d’explications que cela. Il y a le 200 m dos dans deux jours et je vais me focaliser là-dessus.
KMSP/Stéphane Kempinaire